Il était une fois un homme nommé Léo, son cœur battait au rythme du rire de ses enfants. Il les aimait plus que tout, mais un jour, la vie le sépara d’eux. Des murs invisibles s’élevèrent entre lui et leur monde, des décisions qui ne dépendaient pas de lui l’empêchèrent de les voir grandir comme il l’aurait souhaité.

Attristé, il erra longtemps, cherchant un moyen d’être présent malgré la distance imposée. Un soir, alors qu’il traversait la forêt, il découvrit un arbre majestueux dont l’écorce portait d’anciennes gravures, comme des lettres laissées par le vent du temps. Une vieille femme apparut alors, le regard empli de bienveillance.

— Cet arbre est l’Arbre aux Promesses, murmura-t-elle. Chaque parent qui ne peut serrer son enfant dans ses bras peut y confier un vœu, une promesse d’amour éternelle.

Léo, ému, posa une main sur l’écorce et chuchota :

— Je vous aime, mes enfants. Chaque jour, je penserai à vous. Je serai le vent qui caresse vos joues, la chaleur du soleil sur votre peau, la pluie qui chante à votre fenêtre. Je vous promets que je ne cesserai jamais d’être là, même si vous ne me voyez pas.

À peine eut-il terminé qu’une feuille dorée se détacha de l’arbre et s’envola, portée par une brise douce.

Les années passèrent. Léo, bien qu’éloigné, envoya des lettres, raconta des histoires, fit planter des arbres là où ses enfants pourraient un jour marcher. Chaque nuit, il murmurait à l’Arbre aux Promesses, et chaque matin, il trouvait la force d’avancer.

Ses enfants grandirent et, un jour, au cours d’une promenade, ils furent attirés par un arbre, tout à fait semblable aux autres. Guidés par un sentiment qu’ils ne comprenaient pas, ils s’en approchèrent. Lorsqu’ils posèrent leurs mains sur l’écorce, ils entendirent le murmure du vent, le souvenir d’un amour qui n’avait jamais cessé d’exister.

Alors, saisis par une forte émotion, ils comprirent : l’amour d’un père ne disparaît jamais. Il demeure une force invisible qui veille, qui protège, qui attend, fidèle à ses promesses.

Et sous cet arbre, ils laissèrent à leur tour des mots d’amour, pour que le lien ne s’efface jamais.

Merci à l’auteur : ChatGPT !